La lutte contre la délinquance
Qui aurait pu imaginer que Valence, ville à la lisière de la Provence, au bord du Rhône et décoiffée par le Mistral, serait en fait un vivier de délinquance à plus ou moins grande échelle ?
Valence a vécu, sous le mandat d’un précédent maire, une grande vague d’immigration dans les années 1960/1970, qui a contribué au développement des quartiers Fombarlette, Le Plan et Polygone, ce dernier étant à la limite du centre-ville. De plus, Valence est un carrefour commercial entre le Nord (Lyon), le Sud (Marseille) et l’Est (Grenoble).
En 3 mois, j’ai personnellement subi 2 tentatives d’effractions de domicile et 2 effractions de véhicule avec vol d’autoradio et de GPS.
La police multiplie les prises de dépôt de plainte, le système de pré-plainte en ligne est une vraie usine à gaz, et il n’existe dans notre système actuel rien qui permettrait la prise en charge des immigrants afin de faciliter leur intégration socio-professionnelle, et éviter qu’ils ne trouvent de l’argent par les dispositifs de bandes organisées, le vol et le recel.
En effet, cela rejoint l’article sur l’identité, car, à partir du moment où l’on se connait, et que les autres nous reconnaissent pour ce que nous sommes, nous pouvons abbroger toute notion de classe, de profit, de favoritisme, voire de jalousie.