D’une nécessité de simplifier les échanges ?
Je suis en contact​ régulier avec une facilitatrice du Jeu en Hongrie et Roumanie, Orsi. C’est grâce à elle que j’ai mis en place le système multilingue de mon site.
Selon elle, le Jeu prend très mal dans ces pays car le fait de renseigner autant d’informations à chaque échange, à savoir :
- Date de l’échange
- Montant
- Montant en lettres
- Libellé de l’échange
- Coordonnées du partenaire (nom, mail, téléphone)
- Solde
- Solde du partenaire
- Signature
Est plus fastidieux que la monnaie sonnante et trébuchante. Dans un sens, je les comprends.
De ce fait, il me semble important de déterminer des moyens alternatifs à une validation aussi longue, souvent plus longue que l’échange lui-même… Je l’ai constaté d’ailleurs lors d’une brocante réalisée après la réunion du Jeu 24.
Via un smartphone ?
Je tiens à préciser que ce n’est pas parce que le carnet est virtuel que tout le monde y a accès. La gestion des échanges reste totalement sous la co-responsabilité de chacun.
J’ai déjà commencé à développer un e-carnet sur mon site, mais il y a moyen de faire mieux en utilisant un lecteur de codes via l’appareil photo (au préalable les 2 personnes doivent être inscrites sur le site) :
- Le bénéficiaire fait afficher le code de son compte sur l’écran de son téléphone
- Le prestataire flashe ce code, définit la nature (liste déroulante) et le montant
- Un flash code apparaît sur l’écran du prestataire
- Le bénéficiaire flashe le code
- La transaction est enregistrée, les soldes automatiquement mis à jour
Ou dans cet ordre :
- Le prestataire définit la nature (liste déroulante) et le montant
- Le bénéficiaire fait afficher le code de son compte sur l’écran de son téléphone
- Le prestataire flashe le code du bénéficiaire ; un flash code apparaît sur l’écran du prestataire
- Le bénéficiaire flashe le code
- La transaction est enregistrée, les soldes automatiquement mis à jour
Un carnet de chèques ?
On peut imaginer des chèques pré-imprimés avec les coordonnées du bénéficiaire. La notion d’historisation bilatérale est encore à réfléchir.